• Vendredi 19 mai au soir, 2 paras du 1er RPIMa, l'adjudant Joël GAZEAU, 36 ans, père d'une petite fille et le caporal-chef David POULAIN 37 ans, célibataire, engagés dans les forces spéciales en Afghanistan, sont tombés lors d'un affrontement avec les talibans, dans la région de Kandahar. Un troisième para du 1er RPIMa a été blessé, l'adjudant Thierry MICHAUD.

    Le Sapeur Parachutiste de 1ère classe Kamel ELWARD, du 17è RGP a été mortellement blessé à KABOUL le lundi 15 mai 2006 dans l'accomplissement d'une mission de déminage.

    Opération de déminage au Tadjikistan: décès d'un militaire français (le 19 avril 2006).

    DOUCHANBE, Tadjikistan (AP) -- Un militaire français est mort mercredi au Tadjikistan près de la frontière afghane, à la suite d'une explosion survenue lors d'une opération de déminage dans le cadre du programme des Nations unies pour le développement, a rapporté un représentant de l'ONU en précisant qu'un ressortissant tadjik avait aussi été blessé dans l'explosion.
    L'adjudant-chef Gilles Sarrazin est décédé dans un hôpital de la ville de Pyandj, où il avait été transporté après avoir été blessé.



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  • KABOUL - Un officier marinier des forces spéciales françaises a été tué dans un accrochage avec des talibans en Afghanistan. Un officier canadien est en outre dans un état critique après avoir été attaqué lors d'une rencontre avec des chefs tribaux.


    Il s'agit du 2e militaire français mort au combat dans ce pays. Deux talibans ont été tués lors de cet affrontement, a indiqué l'armée américaine. Quelque 200 hommes des forces spéciales françaises participent aux côtés des troupes américaines à la lutte contre Al Qaïda et les talibans.

    Le lieutenant canadien participait de son côté, avec une équipe de civils et de militaires, à une réunion avec des chefs tribaux dans le district de Shinkai, dans la province de Kandahar. Il a été frappé à la tête avec une hache, a indiqué un porte-parole militaire canadien. Des soldats canadiens ont ouvert le feu et tué l'agresseur, qui n'a pas été identifié.

    Vendredi, cinq soldats canadiens avaient été blessés, dont l'un gravement, dans un attentat à la voiture piégée. La veille, un soldat canadien avait été tué et sept autres blessés dans le retournement accidentel de leur véhicule, portant à 10 hommes les pertes du contingent canadien, qui compte 2300 hommes dans la région de Kandahar.

    Par ailleurs, un responsable des services de renseignement afghans, ses trois gardes du corps et un électricien afghan qui voyageait avec eux ont été tués par l'explosion d'une bombe télécommandée dans la province méridionale du Helmand. (ATS)


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  • Sur le bombardement de Bouaké ! 

    La justice française est en possession de nouveaux éléments dans le dossier du bombardement de la base Licorne le 06 novembre à Bouaké. Quinze mercenaires russes, biélorusses et ukrainiens ont été arrêtés à Abidjan par l'armée française le 7 novembre 2004, au lendemain du bombardement par l'aviation ivoirienne d'un camp militaire français en Côte d'Ivoire, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier. Les quinze hommes ont été relâchés quatre jours plus tard et remis, via la Croix-Rouge, au représentant consulaire de la Fédération de Russie, a-t-on précisé de même source.

    Voici les pilotes ivoiriens qui ont bombardé Bouaké

    jeudi 20 octobre 2005 par LE MONDE

    Une offensive éclair, menée par deux Soukhoï-25 des forces armés ivoiriennes (Fanci), qui s'est soldée par la mort de neuf soldats français et d'un civil américain, et par des dizaines de blessés. Sont ainsi promus par le président ivoirien Laurent Gbagbo le lieutenant-colonel Oueï, ainsi que deux pilotes, les lieutenants Gnanduillet et Degri Akpali. Selon la DRM, ces officiers seraient les “seuls à avoir bénéficié d'une promotion au mérite. (...) Cet avancement n'est pas dénué d'ambiguïté et apparaît comme une récompense pour services rendus”.

    Sans commentaire...


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  • Le Général Poncet a été suspendu... soupçonné d'avoir couvert le meurtre d'un Ivoirien alors qu'il commandait les forces françaises en Côte-d'Ivoire.

     A l'époque, un communiqué publié par la force Licorne avait relaté la mort "d'un dénommé 'Mahé' connu comme étant le chef d'une bande de coupeurs de route (ndlr : bandits) recherché pour de nombreuses exactions perpétrées en avril (au moins 5 morts, 9 blessés et 4 viols)". "Poursuivi et se voyant cerné, il a ouvert le feu en direction des éléments de la force Licorne" qui "en état de légitime défense, ont riposté", détaillait le communiqué, avant de terminer : "le suspect (...) est mort des suites de ses blessures".

    Autre communiqué
    La réalité est autre. "Mahé" est bien le triste sire décrit dans le compte rendu. Mais l'accrochage se déroule différemment. Lors d'une patrouille en rase campagne, les soldats français repèrent le délinquant le long d'une route. L'homme s'enfuit à travers champ. Le chef de peloton fait alors débarquer ses hommes, qui ouvrent tous le feu. Quelque 650 cartouches sont tirées. Blessé gravement, l'homme est laissé pour mort. Des villageois le ramènent ensuite sur la route où il meurt.

    Nouveau communiqué :
     Un sous-officier français aurait "achevé" un délinquant présumé qui avait été blessé par des soldats le 13 mai en Côte d'Ivoire, accuse Le Point, en ajoutant dans son édition de jeudi 27 octobre qu'un officier général pourrait être prochainement suspendu, comme l'ont déjà été trois responsables militaires lundi dernier.
    Citant "des sources militaires multiples" mais anonymes, l'hebdomadaire affirme que "le décès de ce 'type ignominieux' aurait été provoqué par un sous-officier chef de section de combat" du 4e régiment de chasseurs alpins.
    Blessé à la jambe par les soldats français, le coupeur de routes présumé Fabien Mahé "aurait été achevé et étouffé, sans doute dans un sac en plastique serré 'à mains nues', puis jeté dans une fosse commune" par ce sous-officier, accuse Le Point.

    Où est la vérité ? sachant le genre de type avec lequel ils ont eu à faire ! ce genre d'individu qui tue et viole sans remords.
    Le Ministre de la défense a voulu faire un exemple, mais où est la barrière en tant de guerre ? La réalité sur le terrain ?
    Alors ? coupable ou pas coupable ?


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  • Décès d'un soldat français en Afghanistan 

    Un véhicule d'une patrouille du détachement de forces spéciales, engagé au sud de l'Afghanistan, dans le cadre de l'opération Héraclès, a sauté sur une mine le samedi 17 septembre 05. Un soldat est décédé et un autre a été gravement blessé.
    Dans le cadre des élections législatives qui se déroulent ce week-end, le détachement menait de nombreuses patrouilles visant à sécuriser la zone dont ils avaient la responsabilité.
    Engagés en Afghanistan depuis l'été 2003, 200 hommes appartenant au commandement des opérations spéciales et issus des différentes unités de la brigade des forces spéciales terrestres (BFST), des commandos marine et des commandos de l'air participent aux opérations contre les talibans au sud est de l'Afghanistan, sous commandement et en coopération avec les forces spéciales américaines présentes dans la région.

    (Ceci dans toute l'indiférence totale...)


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